À Marioupol, le cessez-le-feu n’est pas respecté, ce qui empêche l’évacuation des derniers civils retranchés dans l’usine Azovstal. Il en reste a priori 200. Ceux qui sont arrivés depuis le début de la semaine à Zaporijia rêvent déjà d’y revenir.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.Ok