Au premier jour de la 8e session de négociations sur l’après-Brexit, le gouvernement britannique a reconnu sans ciller qu’il avait l’intention d’enfreindre le droit international en remettant en cause certains aspects du traité de divorce conclu avec l’UE l’an dernier. Une volonté qui provoque de nombreux remous en Europe mais aussi au sein de la classe politique britannique.