Le moindre appel téléphonique est un facteur de stress pour les parents d’élèves. Ces derniers craignent à chaque fois que ce soit l’école de leur enfant qui les appelle. Les établissements scolaires ont reçu des consignes strictes : si un élève présente des signes laissant supposer une contamination (plus de 38 degrés de fièvre, nez qui coule) ou s’il a été en contact avec un cas positif, il doit alors rester à domicile et consulter son médecin. Les médecins débordés C’est par la suite au médecin de décider si, au vu de son état de santé, l’enfant doit faire un dépistage ou si cela n’est pas nécessaire. Les spécialistes de santé se retrouvent submergés par les demandes de tests de la part des dirigeants d’écoles, qui craignent une contamination massive dans les classes. De leur côté, les laboratoires rappellent qu’ils ne pourront pas faire autant de tests.