Des combats entre Bakou et les séparatistes arméniens se sont poursuivis sans relâche et des bombardements en zones urbaines font craindre de nouvelles victimes civiles. La Turquie a pris fait et cause pour l’Azerbaïdjan depuis le début des affrontements et ne cesse de critiquer les appels à un cessez-le-feu qui reviendrait à geler de nouveau le conflit au Karabakh et défend le droit de Bakou de « libérer » cette enclave. L’analyse de Charles Urjewicz, professeur émérite d’Histoire de la Russie et du Caucase à l’INALCO.