Les démocrates ont achevé jeudi 11 février de présenter leur argumentaire. A grand renfort de tweets et d’extraits de discours, parfois anciens, ils ont, pendant trois jours, présenté l’ex-locataire de la Maison Blanche comme une menace pour la démocratie. Et tenté de démontrer qu’il savait parfaitement que ses mensonges et ses remarques enflammées conduiraient ses partisans à la violence le 6 janvier. C’est désormais au tour des avocats de la défense d’entamer leur plaidoirie ce vendredi.