Les journalistes et défenseurs des droits de l’Homme détenus dans les geôles kurdes seraient « des espions, des éléments destructeurs et armés » selon le Premier ministre du Kurdistan irakien. À la fin 2020, des dizaines d’hommes ont été arrêtés lors d’importantes manifestations contre les autorités de cette région autonome et depuis, leurs familles dénoncent l’utilisation de la torture pour leur extraire de faux aveux.