En pleine prise avec des manifestations contre le coup d’État, la junte birmane a annoncé la libération de 23 000 prisonniers. De la poudre aux yeux pour les ONG de défense des droits de l’homme, alors que les principaux leaders politiques dont Aung San Suu Kyi sont toujours détenus. À Genève, le Conseil des droits de l’homme a adopté en urgence une résolution pour demander leur libération immédiate.