En Birmanie, les appels à la désobéissance civile contre la junte se sont poursuivis ce mardi 16 février, malgré le durcissement de la répression par l’armée. Celle-ci fait la sourde oreille face aux multiples condamnations internationales. La junte a inculpé une nouvelle fois Aung San Suu Kyi sur des chefs d’accusation fallacieux. Selon les informations du New York Times, l’ex-dirigeante est apparue dans une vidéoconférence, pour la première fois depuis le putsch du 1er février.