La crainte de représailles n’arrête pas l’ardeur des manifestants birmans qui sont encore descendus dans les rues ce mercredi 17 février pour réclamer le retour de la démocratie et la libération de leur leader Aung San Suu Kyi. Dans une interview accordée à RFI, le rapporteur spécial de l’ONU pour les droits de l’homme en Birmanie, Tom Andrews, met en garde les généraux.