En Birmanie, la journée de samedi 20 février a été la plus sanglante, avec deux morts. Trois semaines après le putsch, l’armée semble insensible aux condamnations internationales et aux sanctions annoncées par certains pays. Vers quoi se dirige-t-on au Myanmar, comment tout cela va-t-il finir ? Pour faire le point sur cette situation, Sophie Boisseau du Rocher, chercheuse au Centre Asie de l’Institut français de relations internationales répond en ligne aux questions de Jean-Baptiste Marot.