Une nouvelle polémique sur le vaccin AstraZeneca a atteint l’Ukraine. Le médecin en chef du pays a annoncé lundi 15 mars avoir le coronavirus, alors qu’il attendait sa seconde dose. Si les vaccins actuels ne protègent pas de la maladie, mais atténuent sa gravité et ne sont efficaces qu’après la seconde injection, l’incident tombe très bien pour le mouvement anti-vaccin ukrainien, très fort. En plus des déboires d’AstraZeneca ailleurs en Europe, la fragile campagne de vaccination est à mal.