En Birmanie, l’effusion de sang n’empêche pas les manifestants de descendre dans la rue. Depuis le putsch du 1er février, la mobilisation ne faiblit pas, la répression non plus. Ce mardi à Mandalay, une fillette de 7 ans est morte et au moins une autre personne a été tuée. Mais la junte persiste et signe, en faisant fi des condamnations internationales et des sanctions désormais imposées à l’armée, dans une rare apparition publique ce mardi.