Les factions rebelles armées menacent de prendre les armes et de rejoindre la contestation anti-junte si le bain de sang se poursuit en Birmanie. Déjà 510 personnes, dont de nombreux étudiants et adolescents, sont en effet mortes ces deux derniers mois, d’après l’AAPP, l’Association d’assistance aux prisonniers politiques.