L’Italie affiche sa « satisfaction » après l’arrestation en France de sept anciens membres des Brigades rouges, trois autres étant encore recherchés. À la demande de Rome, ce coup de filet visant 10 personnes condamnées en Italie pour des faits de terrorisme remontant aux années 1970-1980 a été décidé par Emmanuel Macron. Il règle ainsi un vieux contentieux entre Rome et Paris en rompant avec la bienveillance accordée par les autorités françaises.