Les démissions du président Bah N’Daw et du Premier ministre Moctar Ouane, mercredi 26 mai, ne sont pas du goût de la médiation internationale, conduite par la Cédéao, qui avait déjà évoqué de possibles sanctions. Tout va très vite. Aucune décision n’a encore été annoncée, mais des sanctions pourraient rapidement être adoptées.