Le Tribunal spécial pour le Liban, en charge de juger les personnes présumées responsables de l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri et d’attentats connexes en 2005, qui fait face à une crise financière « sans précédent » ne pourra plus poursuivre ses activités au-delà du mois de juillet s’il ne reçoit pas immédiatement des financements, a annoncé l’institution mercredi.