En Birmanie, Aung San Suu Kyi, la dirigeante élue, mais chassée du pouvoir par un putsch le 1er février dernier, doit faire face à de nombreuses accusations, de la possession illégale de talkies-walkies à la violation d’une loi sur les secrets d’État. Les premières auditions du procès débuteront lundi 14 juin prochain.