Les premiers cas remontent au mois de janvier dernier, mais une inspectrice scolaire n’a découvert le phénomène que le 8 octobre dernier lorsqu’une mère de famille l’a appelé pour lui dire que sa fille était couverte de traces de blessures. Après une enquête, les autorités ont découvert que 22 jeunes filles étaient concernées. La plus jeune n’était âgée que de 9 ans.