Depuis le début des manifestations, les minorités ethniques en Birmanie se sont jointes au mouvement pour s’assurer que leurs voix sont également entendues. Certaines minorités sont les premières cibles de l’armée, certaines d’entres elles ont été en conflit avec les militaires depuis des décennies, et l’arrivée au pouvoir de la junte fait craindre de nouveaux massacres.