Comme celui de Michel Barnier la veille, les témoignages des anciens ministres Michèle Alliot-Marie et Dominique de Villepin n’ont pas permis, mardi, d’expliquer l’étrange impunité dont ont bénéficié les auteurs présumés du bombardement qui a tué neuf soldats français à Bouaké, en 2004.