Dans le nord du Burkina Faso, plus de 138 civils ont été tués dans la nuit de vendredi à samedi dans l’attaque la plus meurtrière enregistrée depuis le début des violences jihadistes en 2015. L’attaque a “d’abord visé le poste” de supplétifs de l’armée, puis les maisons d’habitants, selon une source sécuritaire.