Incarcéré depuis près de six mois, le journaliste Khaled Drareni, symbole du combat pour la liberté de la presse en Algérie, reste derrière les barreaux après sa condamnation en appel à deux ans de prison ferme. Le verdict a déclenché les protestations de ses soutiens.”Cette décision est terrible. En plaçant Khaled en détention, le pouvoir algérien s’est enfermé lui-même dans une logique de répression”, a déclaré à la presse Christophe Deloire, secrétaire général de l’organisation Reporters Sans Frontières.