Alors qu’ils doivent reprendre leurs audiences en personne lundi 4 octobre, les juges de la Cour suprême sont sous le feu des critiques aux États-Unis, et notamment, en ligne de mire, leur procédure de prise de décisions d’urgence, surnommée le « shadow docket ». Pour les médias, juges et politiciens, ces ordonnances manquent de transparence. L’un des neuf juges, Samuel Alito, a décidé de rejeter en bloc ces reproches.