Aminatou Seyni, sprinteuse nigérienne qualifiée pour Tokyo 2020 sur 200m, doit faire une croix sur le rendez-vous Japonais. Visée par le règlement de la fédération internationale d’athlétisme sur l’hyperandrogénie, elle refuse de prendre un traitement médicamenteux pour faire baisser son taux de testostérone.