Si le contrôle d’Internet est devenu un enjeu majeur pour le gouvernement, c’est sans doute parce que les réseaux sociaux mettent en lumière des réactions et des comportements d’internautes bien différents de ceux présentés par la rhétorique officielle. C’est, en tout cas, le point de vue que la sociologue franco-iranienne Mahnaz Shirali développe dans son dernier livre «Fenêtre sur l’Iran : le cri d’un peuple bâillonné», publié aux éditions Les Pérégrines, ex-éditions Françoise Bourin.