Ils sont intérimaires, chômeurs, travailleurs au noir, sont âgés, en moyenne, de 40 à 64 ans, et sont victimes des conséquences économiques et sociales de la pandémie de coronavirus. Pour compenser les carences et retards de l’État en termes d’aides financières, les organisations caritatives multiplient leurs initiatives. Dans la capitale, où deux tiers des nouveaux pauvres sont Italiens, la Communauté de Sant Egidio a mis en œuvre un projet pour remettre sur les rails des femmes et des hommes qui ont soudainement tout perdu.