Le confessionnalisme est désigné comme le grand responsable de la crise sans précédent que traverse le Liban. La société civile dénonce la corruption, le népotisme et le clientélisme liés à ce système qui gangrène la vie politique et économique. Face à la colère de la rue et la pression du président Macron venu deux fois à Beyrouth depuis la catastrophe du port, les autorités sont sommés de s’engager sur la voie d’un État laïc .