Le Soudan, l’Égypte et l’Éthiopie négocient sans succès depuis près d’une décennie la gestion et le remplissage du réservoir du Grand barrage de la Renaissance qu’Addis-Abeba construit sur le Nil bleu. Le projet lancé en 2011 est destiné à devenir la plus grande installation hydroélectrique d’Afrique.