En Birmanie, près de 600 personnes sont mortes sous les balles de la police, dont une cinquantaine d’enfants. La terreur s’abat sur certains quartiers où les habitants n’osent plus sortir de chez eux, la jeunesse refuse d’abandonner. Il y a ceux qui combattent dans la rue et ceux qui font campagne sur les réseaux. Une génération Z bien différente de ses aînés et qui a désormais la volonté d’inventer une nouvelle société birmane.