Alger a protesté samedi 2 octobre contre une “ingérence inadmissible dans ses affaires intérieures”, rappelé son ambassadeur à Paris “pour consultations” et interdit dimanche 3 octobre le survol de son territoire aux avions militaires français. L’objet de ce courroux algérien, selon le quotidien Liberté : des propos tenus par le président français Emmanuel Macron jeudi 30 septembre.