Le soutien financier de l’Union européenne à la police birmane, contrôlée par l’armée, est devenu délicat après le coup d’État militaire du 1er février, qui a renversé le gouvernement d’Aung San Suu Kyi. Le bloc, qui s’était engagé à former la police birmane en 2016, en dépensant des dizaines de millions d’euros sur le projet, aurait annoncé la suspension de son aide le 7 février, selon l’ONG Burma Campaign UK.