Pour la première fois depuis 1989, l’Union européenne a décidé ce lundi 22 mars des sanctions à l’encontre de quatre responsables chinois accusés d’avoir participé à la répression de la minorité ouïghoure. La Chine a répliqué immédiatement en annonçant des contre-mesures visant dix parlementaires, universitaires et fonctionnaires de l’Union européenne.