Emmanuel Macron a reconnu “au nom de la France”, que l’avocat et dirigeant nationaliste Ali Boumendjel avait été “torturé et assassiné” par l’armée française pendant la guerre d’Algérie en 1957, un geste d’apaisement recommandé par le rapport de l’historien Benjamin Stora. Le président français a lui-même annoncé cette reconnaissance aux petits-enfants d’Ali Boumendjel. A l’époque l’assassinat de l’avocat avait été maquillé en suicide.