Depuis le 1er mars 2021, la justice péruvienne a entamé des audiences préliminaires qui pourraient ouvrir la voie à un procès pénal hors norme dans le vaste scandale des stérilisations forcées. Quelque 300 000 femmes auxquelles les trompes utérines ont été ligaturées contre leur volonté, sous la présidence Fujimori.