La junte militaire au pouvoir au Tchad oppose une fin de non-recevoir aux rebelles du Fact. Leur chef Mahamat Mahadi Ali se disait prêt à un cessez-le-feu si un dialogue inclusif était engagé. Ce dimanche soir, le porte-parole du Conseil militaire de transition leur répond via un communiqué transmis à la presse. « L’heure n’est ni à la médiation ni à la négociation avec des hors-la-loi », a déclaré le général Azem. La junte appelle à la « coopération » du Niger pour capturer les rebelles du Fact.